
Elle court la rumeur: Marine Le Pen ne serait pas contre une grâce présidentielle, selon mes informations. La patronne du RN, sous le coup d'une condamnation (et d'une peine d'inéligibilité) dans l'affaire des emplois fictifs au Parlement européen aurait envoyé des "signaux" à Macron en ce sens. Le chef de l'Etat possède en effet encore ce pouvoir, issu de la monarchie...